Le nanisme hypophysaire chez le chien
7 avril 2023
Le nanisme hypophysaire est un déficit de l’hormone de croissance. Cela entraîne un défaut de croissance chez le chien.
7 avril 2023
Le nanisme hypophysaire est un déficit de l’hormone de croissance. Cela entraîne un défaut de croissance chez le chien.
7 avril 2023
Le strabisme est une déviation de l’axe visuel d’un œil par rapport à l’autre. C’est un défaut de convergence visuelle.
7 avril 2023
Le nystagmus est un mouvement rythmique et involontaire des globes oculaires. La vision du chien reste normale en général.
7 avril 2023
La microphtalmie, maladie congénitale, est une diminution du volume de l’œil. Souvent associée à d’autres malformations.
7 avril 2023
L’hypoplasie du nerf optique, maladie héréditaire et congénitale, est un défaut de développement . Celui-ci est sous-développé et trop petit.
7 avril 2023
L’anomalie de l’œil du Colley impacte la choroïde et de la rétine. Il s’agit d’une malformation choriorétinienne.
7 avril 2023
Les atrophies de la rétine sont un ensemble de maladies responsables d’une dégradation des photorécepteurs.
7 avril 2023
Les dysplasies sont nombreuses, on en dénombre une douzaine à ce jour. Il s’agit d’un développement anormal des couches de la rétine.
24 mars 2023
La persistance du vitré primitif est la persistance d’une masse fibreuse dans le segment postérieur de l’œil, juste derrière le cristallin
24 mars 2023
Le cristallin (lentille) a une position verticale. La luxation du cristallin c’est le détachement et le déplacement de celui-ci.
24 mars 2023
La cataracte est une opacité du cristallin, la lentille de l’œil. Elle peut se développer sur des chiens âgés (cataracte sénile).
24 mars 2023
Le lenticône et le lentiglobe sont deux déformations du cristallin (lenticône: déformation conique ; lentiglobe : déformation hémisphérique).
Les maladies ophtalmologiques sont des maladies qui concernent la plupart du temps des parties de l'œil telles que la cornée, les cils, la conjonctive, la paupière. Parfois, elles sont héréditaires et se transmettent à leur descendance ; parfois non. Ces maladies affectent le chien à sa naissance ou plus tard à l’âge adulte. Pour éviter tout risque d’inflammation de cornée, de conjonctivite ou encore d’ulcère cornéen, savoir détecter les symptômes est essentiel.
Les yeux du chien sont à protéger tout au long de sa vie. Lui assurer une bonne qualité de vie est indispensable et cela passe indéniablement par sa santé et notamment par ses yeux.
Durant sa vie, le chien pourra être confronté à certaines maladies ophtalmiques, comme l’humain. Si vous en connaissez les symptômes, cela peut aider votre animal à être soigné plus vite car vous pourrez l’emmener rapidement chez le vétérinaire, dès que les symptômes sont présents. Dans l’onglet “Ophtalmologie”, vous trouverez les maladies ophtalmologiques et leurs symptômes.
La plupart des maladies ophtalmologiques impactent sa vision et sa qualité de vie car cela entraîne le plus souvent une gêne oculaire. Certaines maladies apparaissent dès la naissance (maladie congénitale) tandis que d’autres surviennent plus tard.
Les maladies ophtalmologiques du chien peuvent être :
Toutes ces maladies concernent les paupières du chien, ses cils ou sa cornée.
Les maladies ophtalmologiques ont des symptômes variés.
La luxation du cartilage de la membrane nictitante peut entraîner une inflammation de la membrane.
La lagophtalmie touche les paupières du chien et entraîne une plus grande ouverture des yeux. Cela implique que le globe oculaire est plus souvent soumis à l'environnement extérieur. Il est alors possible que le chien développe une inflammation de la cornée (kératite), une inflammation de la conjonctive (conjonctivite), une sécheresse ou un ulcère cornéen. D’autres maladies ont aussi ces symptômes : les plis nasaux, le trichiasis ou la trichomégalie. Ces symptômes sont une véritable gêne pour le chien.
D’autres maladies n’ont pas de symptômes mais ont plutôt des conséquences esthétiques sur le chien. C’est le cas du prolapsus de la glande lacrymale ou encore de la sténose des points lacrymaux. Cette dernière affection entraîne une humidité constante sur la joue du chien et peut favoriser des maladies cutanées.
Sur certaines maladies, il suffit d’un traitement chirurgical avec un taux faible de récidive. C’est le cas pour la luxation du cartilage de la membrane, les plis nasaux, la sténose des points lacrymaux ou encore le prolapsus de la glande lacrymale.
Les affections qui ont des conséquences seulement esthétiques n’ont pas vocation à être traitées.
La plupart du temps, ce sont les conséquences de ces pathologies qui sont traitées. C’est à dire l’inflammation de la cornée, de la conjonctive ou l'ulcère cornéen.
Certaines races sont plus touchées que d’autres en fonction des maladies et sont parfois héréditaires.
N’hésitez pas à consulter les articles que nous publions pour en savoir plus, grâce aux interventions de notre expert en ophtalmologie.