Le Husky, aussi connu en tant que Husky Sibérien, est un chien de taille moyenne, indépendant mais qui aime vivre en communauté. C’est un chien qui demande beaucoup d’attention et qui aime qu’on s’occupe de lui. Il est affectueux et très intelligent ; c’est un vrai chien de compagnie à qui il faut donner de l’attention tout en lui laissant un terrain d’autonomie. Découvrez-en plus sur lui !
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Les principales caractéristiques du Husky
Typologie du Husky
Le Husky est un chien intelligent, très affectueux, sportif, doux, fidèle à son maître.
C’est aussi un chien hyper rustique, qui résiste vraiment très bien, du moment que vous choisissez un bon élevage. C’est un chien indépendant. La première bonne raison d’adopter un Husky, c’est d’aimer les chiens indépendants, joueurs sans être pot de colle, et d’aimer sortir et se balader, se dépenser.
Son histoire
Sans grande surprise, le Husky est originaire de Sibérie.
La légende raconte que le Husky serait né de l’amour entre un loup et la Lune. C’est pourquoi le chien a cette apparence de « loup » et une queue en forme de croissant (de lune).
Au début du 20ème siècle, neufs chiens Husky sont choisis pour participer à une course de 653 kms de long : cet attelage s’est classé 3ème. Puis en 1925, un autre attelage de Husky a pu sauver un village touché par la diphtérie, en transportant un sérum de guérison. Un club est même fondé aux États-Unis, en 1938 : le Siberian Husky Club of America.
En France, ces premiers chiens sont apparus en 1970. Le Husky Sibérien est classé dans le groupe 5, section 1, de la Fédération cynologique internationale en tant que « chien nordique de traîneau de type spitz ».
Son inscription au LOF date de 1973 : la race est seulement reconnue à cette date.
Le comportement du Husky
Son tempérament
Des bêtises vous en lisez, vous en entendez et on vous en raconte beaucoup.
Alors on va commencer par la plus belle : le Husky est un chien fugueur
Donc, comme il est fugueur, on ne le détache pas quand il est chiot. Comme on ne le détache pas chiot, on détachera quand il sera adulte.
Chiot, c’est justement le moment où il faut lui apprendre à vivre détaché.
Pourquoi ? La raison est toute simple.
Plus le chien est jeune, plus il a besoin de vous pour exister. Moins il a de courage et moins il en tire chez vous. Plus vous attendez, plus il va être capable de s’autogérer tout seul et résultat, il va pouvoir aller beaucoup plus loin. Donc, non, le Husky n’est pas fugueur.
C’est une grosse bêtise. Simplement, il a l’habitude et le besoin de parcourir de grands territoires.
Forcément, vous, qu’est-ce que vous faites ? Vous l’enfermez dans son jardin sans jamais le sortir et après vous pleurez en vous disant : mais pourquoi il fait des trous pour aller à droite ou à gauche ?
Ça ne s’appelle pas être fugueur, ça s’appelle : aller contre nature. Quand vous allez contre nature, souvent la nature vous punit à la fin.
Tant que l’on est dans les bêtises, allons-y pour la deuxième et celle-là, elle est terrible : la tonte
Le Husky résiste évidemment extrêmement bien au froid. Aucun problème là-dessus, le Husky peut aller jusqu’à -40 degrés du moment qu’il est habitué. En revanche, le Husky peut tout à fait résister à des chaleurs allant jusqu’à 25 ou 27 degrés sans aucun problème.
Quand il fait très chaud, certains vous conseillent de le tondre. Faut être très bête pour faire ça parce que si vous le tondez, vous lui enlevez également ce qui le protège de la chaleur et du soleil parce que c’est une couche thermique.
Résultat : en pensant rafraîchir le chien en le tondant, vous vous trompez.
Le Husky, chien destructeur ?
Ensuite sur le Husky, ce n’est pas compliqué, c’est un des chiens qui est actuellement le plus destructeur en intérieur.
S’il s’ennuie, il va détruire, comme pour tout chien. Il n’y a pas à aller chercher bien loin, vous lui faites faire trois kilomètres la semaine alors qu’il devrait en faire 30, 40 voire 50 kilomètres. Est-ce qu’il y a vraiment besoin de vous faire un dessin ? Moi, je ne pense pas.
Chien décisionnaire ou non décisionnaire
C’est un chien un peu paradoxal très proche de ses maîtres, mais aussi indépendant alors l’un ne va pas forcément sans l’autre. Tout simplement, vous avez là des chiens qui sont des chiens pots de colle.
Ce n’est pas forcément le cas du Husky.
En règle générale, il a besoin d’avoir un contact avec son maître ou avec ses maîtres. Il peut tout à fait se mettre à trois mètres de vous, mais ne pas vouloir être collé. Ça, c’est important de le retenir. Ce n’est pas parce que votre chien se met à trois mètres de vous qu’il ne vous aime pas. Ce chien peut tout à fait être un peu indépendant et avoir besoin de son espace vital. Ça ne veut pas dire qu’il ne vous aime pas et qu’il n’a surtout pas besoin de votre présence. Il en a besoin, c’est impératif chez le Husky.
Si vous voulez un chien qui soit beaucoup plus proche d’un agissement instinctif plutôt que robotisé, le Husky correspond très bien !
Vous allez pouvoir lui apprendre tout ce que vous voulez, mais n’espérez pas lui faire vivre des séances de 15 ou 20 minutes de « assis », de « couché », de « pas bouger » et de « au pied » d’afilées. Ça va le barber et le saouler et il ne va pas être bon. Il va surtout très, très vite décrocher.
Là, on est sur un chien qui a besoin de choses beaucoup plus terre-à-terre.
Il a besoin de comprendre ce qu’il est en train de faire pour pouvoir le faire. Mais surtout, il a besoin de comprendre d’une façon beaucoup plus naturelle. C’est un chien décisionnaire. En gros, ce n’est pas le champion du club canin. Ce n’est pas le champion du milieu fermé.
Par contre, dès qu’on va le mettre en milieu ouvert et qu’on va lui faire comprendre comment fonctionne la vie ; notamment en attaquant très vite le suivi naturel, on va vite voir qu’il est très bon. Il est très performant et il est capable de comprendre ce que vous attendez de lui.
Ses qualités et ses défauts
C’est un chien robuste, costaud, balèze, rustique.
À partir du moment où vous ne le faites pas vivre au coin du feu pendant cinq ans et qu’un jour comme ça, ça vous prend de le sortir dehors. Parce que sinon, il va prendre une grippe au premier coup de froid. C’est un chien sportif avant tout.
C’est un chien très affectueux, très intelligent, jovial…
C’est un excellent chien de compagnie. Il est aussi très affectif avec les enfants. Il est génial avec eux, très attentionné.
Son défaut ? Il peut être amené à pas mal aboyer…Mais dans ce cas-là, si vous ne voulez pas que votre chien aboie…. ne prenez pas de chien ! Vous aurez aussi un travail à faire pour lui apprendre la solitude en commençant très tôt. Et il perd aussi beaucoup ses poils, ce qui peut en freiner quelques-uns.
Le sport chez le Husky
Son besoin d’exercice est considérable.
Il excelle dans le sport alors n’hésitez pas, il en sera ravi ! N’oubliez pas que le Husky a été fait pour tracter, il adore ça, c’est une passion pour lui et c’est surtout un besoin. Le Husky est capable de tracter, de courir très longtemps et même de courir avec de grosses charges derrière lui.
Là, il y a deux choses à savoir.
Premièrement, il a besoin de tracter et donc le caniVTT, par exemple, est une activité au top pour lui. Mais, attention à tous ceux qui vous racontent n’importe quoi en vous expliquant que comme il aime bien tracter et bien la marche en laisse vous ne l’aurez jamais, il va toute sa vie tracter. Ça n’a rien à voir.
D’un côté, il y a de l’éducation, on lui apprend à vivre dans le monde des humains, ce n’est pas forcément évident, mais ça s’apprend.
D’un autre côté, il y a les besoins naturels. Les deux vont l’un avec l’autre et non pas contre l’autre. Donc on fait attention à ces raccourcis de : attention, tu prends un Husky, il va tracter… Non, il va tracter si vous voulez qu’il tracte. Si vous ne voulez pas qu’il tracte et qu’il marche en laisse, il va marcher en laisse.
Ce qui compte, c’est ce que vous allez en faire.
Si vous êtes en appart ou en maison, quoiqu’il arrive de toute façon la sanction est la même, on sort et on sort longtemps. Alors c’est sûr que si vous prenez votre Husky et que vous allez faire le tour du pâté de maisons, que vous rentrez à la maison et que le tour est déjà terminé, vous vous trompez grandement.
Vous n’avez rien compris.
Il faut vraiment penser à le sortir, mais le sortir longtemps. Il a besoin de sortir au moins deux ou trois heures par jour sauf si vous partez en activité. Si vous partez faire du vélo avec lui et que vous le sortez qu’une heure, c’est déjà très bien.
Maintenant, c’est un chien qui a besoin de faire de la distance, qui a besoin de courir et de faire du sport pour qu’il développe une masse musculaire correcte qui lui offre la possibilité de rester en bonne santé. Sinon effectivement, les quinze ans vous ne les atteindrez pas avec le Husky.
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L’éducation du Husky
Ce chien est très tendre avec les membres de son groupe social qui sont pour lui très importants.
Un Husky chiot est joueur mais s’assagit avec l’âge. Ce chien sait se montrer doux et calme à la maison si tous ses besoins sont comblés.
Niveau dressage, c’est un chien très performant, très intelligent. Il est surtout pertinent, a l’esprit vif, donc si vous voulez vous amuser en termes de dressage avec lui, vous pouvez. En revanche, c’est un chien primitif (comme le spitz japonais), essayez toujours quand même de vous rapprocher un peu de ses besoins primaires et de ne pas lui apprendre uniquement des choses qui vous serviront à vous dans le monde des humains.
L’éducation du Husky doit se faire le plus tôt possible sans hésitation, dès son arrivée chez vous.
Il n’a pas énormément de problèmes avec ses congénères du moment que la socialisation a été bien faite. Elle est très importante pour le Husky, si possible entre ses 2 et 3 mois.
Le Husky accepte volontiers les mâles et les femelles.
Comme tous les grands mâles, il peut avoir ses têtes, où il peut avoir des petites montées de testostérone qui feraient qu’il aimerait s’expliquer un petit peu avec un ou deux mâles qu’il va croiser ! Donc on oublie pas la socialisation dès tout petit et on travaille l’obéissance.
N’hésitez pas à lui faire découvrir et rencontrer de nouvelles têtes de chiens à l’occasion !
Avec ce chien, comme avec beaucoup d’autres, la règle qu’il faut garder en tête c’est : patience, cohérence et régularité. Effectivement, si vous choisissez un ordre précis, n’en changez pas par la suite. Répétez, répétez, répétez. Le Husky a besoin de cohérence : ne changez pas de mot d’ordre une fois qu’il est choisi.
Il s’éduque et c’est pour cela qu’il faut arrêter de penser qu’il est fugueur ! C’est faux.
Ce qui rend fugueur le Husky c’est si on ne le travaille pas, si on ne le détache jamais lors d’une balade. Le jour où vous le détachez, alors qu’il n’en a pas l’habitude, il va partir, loin. Il va fuguer et comme il fugue on dira que c’est un fugueur. Alors qu’en réalité, si vous le détachez assez rapidement après son arrivée chez vous, si vous lui apprenez le rappel pour garder de la maîtrise sur lui, que vous ne le considérez pas trop bête, que vous faites du sport avec lui, que vous vous amusez ensemble et faites des activités… Alors votre Husky ne sera pas fugueur ! C’est ça le secret finalement.
Le Husky est un chien indépendant : « indépendant » ne veut pas dire « solitaire ». « Solitaire », ce n’est pas le Husky. Lui, il est habitué à vivre en meute, dans de grands groupes sociaux.
Donc s’il vit seul, et si vous l’isolez beaucoup trop ou si vous le laissez dans le jardin sans aucun contact, il sera malheureux, et il développera des troubles du comportement. D’où l’importance d’une bonne éducation et d’une présence. Si vous voulez un chien qui aime vivre avec vous sans être forcément « pot de colle », à ce moment-là, le Husky est fait pour vous.
L’alimentation
Ses besoins énergétiques ne sont pas si importants que l’on pourrait penser. Sa fourrure lui permet de :
- garder des calories,
- diminuer ses rations de moitié en été ou lors de ses périodes de repos, hors sport.
Le Husky est un chien qui demande une alimentation plutôt riche en lipides et en protéines ET pauvre en amidon car il ne le digère pas facilement.
L’amidon est mal digéré par ce type de chien car il possède moins d’amylase que d’autres races.
Afin de bien choisir les croquettes de votre chien Husky, regardez la proportion de féculents compris dans le paquet.
Certains fabricants proposent des croquettes avec moins d’amidon que d’autres mais elles en contiendront toujours une part. La qualité de son alimentation lui permettra de garder une belle fourrure.
Pour plus d’informations nutritionnelles concernant votre chien, ne pas hésiter à consulter un vétérinaire et lui demander un avis professionnel.
💡 Conseil : ne lui donnez pas à manger 4 heures avant son effort physique intense.
L’entretien du Husky
Le Husky vit deux grandes périodes de mue dans l’année.
Lors de la mue, il change totalement de poils. Forcément, pendant la mue, qui dure trois semaines, à chaque fois il y a un peu de boulot.
C’est-à-dire qu’il va quand même falloir le brosser chaque jour sinon ça va vite être un carnage. Si vous ne le brossez pas, ce n’est pas juste la maison qui va être sale, c’est surtout le chien qui va en pâtir.
À part ça, il ne demande pas un toilettage ni un travail de brossage titanesque. Le Husky se toilette comme toute race de chien.
Les parasites comme les tiques et les puces peuvent être fortement attirés par le pelage du Husky : n’hésitez pas à le traiter.
Et si vous n’aimez pas les poils, ne prenez pas un Husky : il perd beaucoup ses poils et le Husky en a beaucoup !
La santé et les maladies les plus courantes
C’est un chien plutôt robuste et solide, rustique, généralement en bonne santé mais il faut prendre en compte que le Husky peut connaître de nombreux problèmes au niveau des yeux et de la peau.
Son pelage et la température
Le Husky peut vivre au soleil et même quand il fait très chaud. Et c’est vrai qu’on a aussi l’image du chien de traîneau. Sachez quand même que le poil sert de couverture thermique. La couverture thermique servira quand il fait froid et aussi quand il fait chaud. Cela fait qu’on a un vrai chien capable de vivre aussi bien quand il fait froid que quand il fait chaud. Ne perdez quand même pas de vue que quand il fait froid, son pelage augmente et que quand il fait chaud, son pelage diminue.
La cataracte chez le Husky
Il lui est possible de contracter la cataracte.
Cette maladie se caractérise par une opacité du cristallin de l’œil. Le chien a alors des difficultés à voir et ses yeux ont un aspect trouble. La cataracte touche principalement les vieux chiens.
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Dans certains cas, elle peut être enlevée chirurgicalement afin d’améliorer la vision de l’animal.
La dystrophie lipidique cornéenne
Le Husky peut être aussi sujet à la dystrophie lipidique cornéenne. Cette maladie touche la cornée de l’œil. Elle cause une opacité en collectant les lipides de la cornée. La dystrophie est généralement observée chez les jeunes adultes femelles. S’il n’y a pas de traitement pour ce mal, il ne semble pas déranger la vision du chien.
L’atrophie rétinienne progressive
Une autre maladie des yeux connue chez le Husky : l’atrophie rétinienne progressive. Ce trouble oculaire dégénératif est dû à la perte de certains photorécepteurs à l’arrière de la rétine. À son terme, elle peut provoquer la cécité du chien. Heureusement, l’atrophie est détectable de nombreuses années avant que le chien ne montre les premiers signes de cécité.
Il faut alors se préparer à l’évolution de la maladie. En effet, l’atrophie rétinienne progressive est incurable. Vous devez donc commencer au plus vite à prendre l’habitude de ne pas déplacer vos meubles. Le chien, doté d’autres sens, se retrouve parfaitement dans un intérieur qui ne change pas.
Le syndrome uvéo-cutané
Il s’agit d’un syndrome qui touche particulièrement les Huskies. Cette maladie auto-immune favorise la destruction des mélanocytes, responsables de la production des pigments de la peau et des yeux. De ce fait, la peau de l’animal blanchit et ses poils également. Ce syndrome s’accompagne souvent de problèmes oculaires.
La carence en zinc
Le Husky peut être sujet à une carence en zinc. Cela se symbolise par une perte de bien plus de poils qu’à l’accoutumée, au niveau des babines, des pattes, des coudes, des yeux. Un nouveau régime alimentaire est alors conseillé par le vétérinaire.
La dysplasie de la hanche
Niveau santé, le Husky est touché par tout ce qui touche les chiens moyens à grands. Alors ça peut être, par exemple, la dysplasie de la hanche ou du coude. C’est une maladie fréquente chez plusieurs races mais le Husky y est sujet. Globalement, la dysplasie est le mauvais placement de la tête du fémur dans l’articulation pelvienne. Elle est relativement douloureuse chez le chien : elle se diagnostique lors d’une radiographie chez le vétérinaire. Pour réparer le problème, une intervention chirurgicale est requise.
Les questions les plus fréquemment posées
Quelle est la durée de vie d’un Husky ?
Au niveau de l’espérance de vie, on a des Huskies qui vont jusqu’à 16 voire même 18 ans. Mais partez globalement sur une durée de vie moyenne de 15 à 16 ans.
Est-ce que le Husky peut vivre seul ?
Absolument pas. En tout cas, c’est fortement déconseillé. Sous son allure de chien indépendant, il a un fort besoin de son maître et de présence au quotidien. Il a besoin de se dépenser, de courir, de travailler.
Combien de temps de sport / de sortie doit-il avoir par jour ?
Étant un chien très sportif qui ne demande qu’à bouger, il FAUT le sortir impérativement. Il doit utiliser son énergie à travers l’exercice physique. Vous pouvez compter au minimum 30-45 minutes à 2h par sortie, vous pouvez compter sur 40-50 kilomètres par semaine !
Cela dépendra de l’intensité que vous mettez dans votre sortie, s’il est en laisse, ou non, et de l’énergie sportive de votre chien.
On conseille de le sortir détaché pour qu’il puisse plus se dépenser et courir à sa guise.
Est-ce que le Husky supporte la chaleur ?
Avec ses poils, on peut effectivement se poser la question. Comment fait-il lors des fortes chaleurs ? Le Husky ne souffre tout simplement pas de la chaleur ! En effet, la présence des poils joue le rôle de régulateur thermique. Même en hiver, il peut supporter des températures très froides sans soucis.
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