Salut à tous ! Bienvenue sur Esprit dog. Aujourd’hui, on va travailler la gestion des émotions et la capacité du chien à renoncer. On va dresser le chien à gérer ses émotions lors de rencontres. Ça, c’est vrai que c’est quelque chose qui ressort très souvent et que vous vivez au quotidien. Vous savez, dès que le seuil émotionnel dépasse une certaine limite, le chien perd un peu le contrôle et c’est là que l’on se retrouve avec un chien qui a un comportement un peu étrange, voire un peu déviant.
Le chien doit gérer ses émotions
Par exemple, quand un chien est en laisse beaucoup d’entre eux ont le seuil émotionnel qui déborde. Résultat, on a l’impression que ce sont des crocodiles qui commencent à partir dans tous les sens, c’est simplement le seuil émotionnel qui vient de déborder. On a ce cas de figure là aussi pour du rappel. Un autre animal passe sous votre nez et le chien perd le contrôle, il perd également l’écoute et part sur la poursuite. Ça, c’est quelque chose que l’on retrouve très souvent. Dans une situation plus basique, si quelqu’un rentre chez vous et que votre chien est content de voir cette personne, que va-t-il se passer ? Votre chien va perdre le contrôle de lui-même et comme il n’écoute plus il fait n’importe quoi.
La première chose qu’il fait quand on dit qu’il fait n’importe quoi c’est de sauter. Il saute parce qu’il veut de l’attention. L’exercice que je vais vous montrer aujourd’hui va vous permettre de travailler cela. Il y a bien évidemment énormément d’exercices comme celui-là. Je vais vous en montrer un qui est très pointu, très précis. Grâce à cet exercice, quand votre chien dépassera son seuil émotionnel, il pourra redescendre en excitation. Cet exercice-là, permet d’améliorer tous les exemples que je vous ai cités avant.
Vous mettez votre chien en position « pas bouger ». Devant lui, vous disposez ce dont il a le plus envie au monde. Cela peut être sa balle, sa corde, ou toute autre chose selon votre animal. On va alors lui dire d’aller sur l’objet qu’il convoite et au dernier moment lui ordonner de ne pas le toucher. L’idée, c’est qu’il n’ait pas la démarche de choper la balle avec sa gueule. Lire la suite…